We have been contacted by a number of university student counselling services regarding their ability to offer services into New Brunswick to students enrolled at their universities who, due to the pandemic, are remaining in New Brunswick. They noted that our current position is with respect to ‘existing clients’ and their situation would be that of potentially ‘new clients’. They noted that these students would have the benefit of their services if they were on campus and wished to be able to offer this to those having to attend virtually. Council agrees to expand our current position as we don’t feel it is in the public interest to make it impossible for students to receive services otherwise available to them. As well, we contemplated that a return to in-person attendance could happen in the winter term, at which point the student could continue, in person, with the practitioner with whom they have established the relationship. This position shall continue ‘during the pandemic’ and the Registrar will revisit this at least every three months to determine if the special circumstances still exist.
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Nous avons été contactés par un certain nombre de services de counseling universitaire au sujet de leur capacité d’offrir des services au Nouveau-Brunswick aux étudiantes et étudiants inscrits à leur université qui, en raison de la pandémie, restent au Nouveau-Brunswick. Ils ont noté que notre position actuelle concerne les «clients existants» et que leur situation serait celle de «nouveaux clients» potentiels. Ils ont noté que ces étudiantes et étudiants bénéficieraient de leurs services s’ils étaient sur le campus et souhaitaient pouvoir offrir cela à celles et ceux qui doivent y assister virtuellement. Le Conseil accepte d’élargir notre position actuelle, car nous estimons qu’il n’est pas dans l’intérêt public de faire en sorte qu’il soit impossible pour les étudiantes et étudiants de recevoir des services qui leur seraient autrement disponibles. De plus, nous avons envisagé qu’un retour à la fréquentation en personne puisse se produire pendant la session d’hiver, moment auquel l’étudiant pourrait continuer, en personne, avec le praticien avec lequel il a établi la relation. Cette position continuera «pendant la pandémie» et le Registraire y reviendra au moins tous les trois mois pour déterminer si les circonstances spéciales existent toujours.
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